La soeur du roi! [Kryzen]

Objectif: trouver le futur marie de celenia

Péripétie: La soeur du roi vient d'avoir 20 ans, elle doit trouver un prétendant pour se marier, il doit être digne de confiances aux yeux du roi, car il prendront tous les deux sa place si il lui arriverait un malheur. Vous devrez parcourir beaucoup de chemin, pour le trouver!

gains: 500 po
difficultés: facile
durée: 15-20 postes sans compter le pnj



Tandis que vous déambuliez sur la grande place de la capitale, l'un des conseillers du roi, vous aborda. Il avait le souffle légèrement coupée, sans doutes du à sa courses pour venir à votre rencontre. Il était habiller avec une sorte de soutane rouge, et avait des mocassins de cuire au pied; Il devait avoir un peu plus d'une cinquantaine d'année, tout au plus. de long cheveux gris, qui virevolter au grès du vents, la prunelles de ses yeux vous sembla noir, mais vous ne pouvez que peu les distinguée, a cause du capuchon de sa soutane.

-Bonjour jeune elfe, pourriez vous me rendre un service?

Vous acquiescez!
- Je m'appelle Sartros, je suis le premier conseiller du roi. Sa soeur vient tout juste d'avoir vingt ans, et comme vous le savez certainement si il arrive quelque chose à notre bon roi, c'est elle qui devra le remplacer. Ors ils se trouvent qu'elle n'a pas de marie, et selon la lois de notre monde, il lui en faut absolument un pour pouvoir monter sur le trône.

Vous commencez a comprendre, mais lui demandez tout de même ce que vous pouvez faire pour lui.

-En faites, si tu est d'accord, il faudrait que tu aille dans chaque villes de la province de Iriandas, afin de lui dénicher ce prétendant. Mais attention il doit être âgée de vingt cinq ans tout au plus, et surtout, il devra gagner la confiance du roi.

Il vous remets un papier, qui n'est autres que la carte de la région, et s'en va, vous laissant seul, sans même vous donner d'autres explications.

Spoiler:

Vous observez de longues minutes la cartes...

Que voulez vous faire:
°Essayez de glaner quelques précieux renseignement qu'il vous manques a la taverne du village!
°Rechercher un moyen de locomotion, la route que vous devez faire s'annonce très longue!
° Partir dés maintenant en direction d'une des villes qui figures sur votre carte! (dans ce cas dites moi vers qu'elle ville vous vous élancé)

Le premier conseiller du roi me remit un papier. Intrigué par ce document je l'ouvrait immédiatement...
Il s'agissait de la carte de la région, je relevais la tête pour lui poser une question mais le bougre était déjà parti... Je me remis a contempler la carte dans l'espoir de trouver un signe, quelque chose qui m'indique la direction a suivre mais non, il n'y avait rien...
*La prochaine fois je ne me ferais pas avoir...* pensais-je en poussant un soupir de mécontentement.
Bon, rien faire il me faut des indications, la sœur du roi a du déjà rencontrer pas mal de monde... elle a sans doute déjà trouver quelqu'un qui lui plairait, mais

*qui peut me donner l'info ? et surtout l'endroit ou il vit. *

- Bon la taverne ou le château ?... la taverne et si je n'y trouve rien j'irais au château.
J'arrivais à la taverne, l'ambiance etait plutot bonne et je n'attirais pas les regards...

*Et maintenant comment je fais, je paye un coup a un gars... et s'il n'a rien comme info ?...
non je vais plutot commencer par parler avec l'homme au comptoir. *

Je m'approchais donc du comptoir, et entamais une conversation sur la pluie et le beau temps...

- Beau temps pas vrai, mais vous ne devez pas voir le jour souvent ?

- Ouai, un beau temps pour se saouler.

Il se mit à rire entrainant deux gars qui étaient accoudé au comptoir. J'esquissais un sourire, car j'avais compris deux choses, si je ne riais pas je risquais les foudres du barman et si je ne prenais pas de boissons j'allais surement me faire virer.

- Tu me mettra une bière...

Le barman fut très satisfait de lui et sorti une bière de son comptoir.

* c'est bien parti pour moi. *

Je lui remettais le tarif inscrit sur une pancarte derriere lui et engaga la conversion qui m'interressais.

- La reine ne devrai pas être déjà marié ?

- Et bien si et même que le prétendant est deja choisit, mais c'est à cause de....

Il se tue d'un coup en aillant un regard alentour, les deux gars faignant de ne pas écouter regardais à l'opposé mais les oreille etait surement tendu vers notre conversation.

* Apparament, les ennuis commences... *

Vous décidez d'aller a la taverne, l'ambiance qui y règne, est bonne.

une faible musique parvint a vos oreilles ce qui contraste avec le brou-ha de tous les clients, qui sont déjà bien éméché a cette heure matinale de la journée, vous regardez autour de vous, les murs de l'établissement sont en pierre apparentes; quelques tableaux sont accrocher, il représente pour la plupart des scènes de la grandes guerres.

Vous avancez en direction du comptoir où un homme d'une quarantaine d'année sert de l'alcool a quelques orcs. Le comptoir est en chênes, tout comme les tables et les chaises qui meubles ce lieux.

Vous prenez un tabouret et vous asseyez.

Vous entamez la conversation, en lui parlant du temps.
Toutes les personnes assises au bar se mettent a rire, vous y compris, en entendant la boutade que vient de lancer le barman.
Satisfait de cette approche, vous commandez une bière, et régler de suite l'addition de 3 doublons, et en profitez pour lui demandez si la soeur du roi avait déjà choisi un mari en dissimulant habilement votre question.
Il vous répond qu'elle en a trouver un mais que ....

Il s'interrompt brusquement en regardant autour, vous suivez son regard et remarquer que le groupes d'orcs de tout a l'heure, épies votre conversation discrètement.

vous lui demandez a nouveaux de vous répondre, mais il ne semble plus décidez a se confier à vous.

que voulez vous faire:
°Sortir, et allez aux châteaux!
°Écrire un message au barman lui proposant un rendez-vous afin de discutez plus librement!
°Sortir de la capitale, en direction d'une des villes de la carte!

Je demandais au tavernier :

- La reine ne devrai pas être déjà marié ?

- Et bien si et même que le prétendant est deja choisit, mais c'est à cause de....

Il se tue d'un coup en aillant un regard alentour, les deux gars faignant de ne pas écouter regardais à l'opposé mais leurs oreilles etait surement tendu vers notre conversation.

* Apparemment, les ennuis commences... *

Il ne me restait qu'un seul choix possible si je voulait lui soutirer des infos, écrire un message au barman en lui proposant un rendez-vous afin de discutez plus librement!
Encore me fallait-il le faire sans attirer l'attention des deux bestiaux qui me surveillait du coin de l'œil...

* Il y a un truc louche avec ces types, j'en suis sur... *

J'eus une idée, je sortis mine de rien et commença à faire le tour de la taverne...

* Je m'arrête derrière pour écrire et je lui donne le parchemin en rentrant... ils penserons surement que je suis allé me soulager la vessie... *

Les orcs vous semblent louche, et la seul façon pour vous de lui parler c'est de lui proposer un rendez-vous par écrit.

Mais comment, il épies vos gestes du coins de l'oeil.
Soudain une idée vous vient en tête.
Vous sortez du bars, et aller derrière la bâtisse, prenez un morceaux de papier qui traîne près des poubelles. La ruelle est sombre, la lumière du soleil ne parvient pratiquement pas jusqu'à vous, elle est bloquer par les murs qui bordent celle ci.
Vous fouillez dans votre cabache, et prenez de quoi écrire

Spoiler:

Vous revenez vous asseoir a votre place, l'air soulagée, le papier bien dissimuler dans votre main.
Un des orcs vous lance:
-Ehh! mon gars, tu tes soulager! Sa fait du bien!
Vous hocher la tête en guise de confirmation, tandis, que ses compères ries a hautes voix!

vous demander au patron une nouvelle bière, et profitez de régler a nouveaux les trois doublons qui vous incombes, pour lui glisser votre mots discrètement.

Quelques minutes plus tard, après avoir fini votre breuvage, vous sortez de l'établissement.

Ils vous restent 4 heures avant votre rendez vous, que désirez vous faires:

° Rechercher un moyen de locomotion, pour vos futurs déplacements!
° Allez aux châteaux, pour voir le roi ou sa soeur!
° Vous asseoir sur un des bancs attenants a la place!

Je sortais du bars, et me dirigeais vers l'arriére de la taverne, en regardant derrière moi pour être sur que les deux gars ne me suivais pas. une fois rassuré, je parcourais l'endroit du regard...

* Tien du parchemin, je vais l'utiliser.*

La ruelle etait sombre, et la lumière ne parvenait pas a passer pour m'éclairer vraiment, elle etait de plus bloqué par des murs. L'ambiance etait un peu étouffante, sur mes garde je fouillais dans ma sacoche, et prit de quoi écrire :

Spoiler:

Je retournais a la taverne, la tension durant le voyage de retour etait a son comble, je courrais presque, mais rien n'arriva et c'est avec un air soulagée que je retournais m'assoir, le papier dans ma main.

Un des orcs me fixait :

-Eh! mon gars, tu tes soulager! Sa fait du bien!

* Pourvu qu'il ne voit pas le papier...*

J'hochais la tête mine de rien, tandis, que ses compères riaient a hautes voix!

Je regardais le patron et commanda une nouvelle bière, j'avais prévu que en meme temps de lui rendre la monnaie de lui glisser le papier. Il m'amena ma bière et malgrès que j'étais effrayé de tenter le coup je tendit une main ferme et déposa les trois doublons et le papier dans sa main.

Je me sentais vraiment soulagé, et je fini ma bière dans l'hilarité, dont les deux bougres m'entretenaient, avec leurs blagues idiotes. Une fois fini je sortis sans un regard au barman, et commenca a me demander ce qu'il fallait que je fasse.

*Il me reste environs 4 heures avant que le jour se termine et je n'ai aucun plan B*

Je me dirigeais alors vers le château, le seul endroit qui puisse m'être utile. , après la taverne

Vous êtes sur la grande place de la capitale, mais que faire?

Vous décidez d'aller au châteaux, qui est à quelques kilomètres de votre position. Vous marchez donc, de longues minutes, vous longer la grandes avenue, et croisez toutes sortes d'échoppes.

Vous traversez le pont le-vis, qui mènent a la grande grille du châteaux. deux gardes sont poster à l'entrée et vous barre totalement l'entrée. de toute évidence, si vous désirez entrer, il va falloir marchander avec eux, et ne semble pas commodes du tout.

Vous êtes a présent devant eux, ce sont deux hommes d'une trentaines d'années, ils sont vêtus de leurs armures réglementaires, comprenant casque, plastron, jambières ainsi qu'une pique.

-Que voulez vous?
Vous lui parlez de votre mission.
-C'est inutile, vous ne rentrerez pas, tant que je serai la. Je vous ordonne de rebroussez chemin immédiatement, sans quoi je fais venir l'armée!

Après un court moment d'hésitation, vous décidez de repartir d'où vous venez.

que désirez vous faire, a présent, il vous reste plus que deux heure trente avant votre rendez vous?

° Rechercher un moyen de locomotion, pour vos futurs déplacements!
° Vous asseoir sur un des bancs attenants a la place!

*Il me reste environs 4 heures avant que le jour se termine et je n'ai aucun plan B*

Je me dirigeais alors vers le château, le seul endroit qui puisse m'être utile. , après la taverne. Les quelques kilomètres qui m’en séparaient ne furent pas vains car pendant ce temps j’ai réfléchi à la suite des opérations… Le plan était très clair dans mon esprit a présent.

*Je récupère l’adresse du mec que la fille aime, je trouve une monture, je cours le chercher, je le ramène, et c’est fini… ça me parait être un bon plan.*

Arrivé devant le château, je traversais les douves en passant par le pont-levis. Ma traversée héroïque fut stoppé net par deux gardes.

- Que voulez vous?

Prit presque par surprise par cette apparition je lui parlais de ma mission :

- Je suis à la recherche du chevalier qui épouseras la sœur du roi, et je doit aller la voir… Je fut stoppé net, encore une fois par le garde.
- C'est inutile, vous ne rentrerez pas, tant que je serai la ! Je vous ordonne de rebrousser chemin immédiatement, sans quoi je fais venir l'armée !

* Zut, encore un chieur, c’est pas vrai ils vont pas me laisser accéder aux infos… Comment je vais lui retrouver son homme à elle, si personne ne veut me le dire.

Et je retournais vers la ville, tandis que les deux stupides gardes me regardais. Une fois arrivé à la ville, il me restait suffisamment de temps pour chercher quelqu’un qui me louera un cheval… Je me mis donc en quête d’un vendeur de chevaux.

Vous êtes donc toujours aux points de départ, Sans réels information pour l'instant.

Vous décidez cependant de vous mettre a la recherche une monture, qui vous sera très certainement extrêmement utiles, pour la suite de votre mission.

Mais ou chercher?
Vous regardez autour de vous, et apercevez aux loin sur la grande avenue, un panneau fixée au mur, vous êtes pratiquement sur qu'il représente la forme d'un cheval. Avec un peu de chance, ce sera l'échoppe d'un palefrenier.

Vous marchez donc dans cette directions, vous devez avoir de bon yeux, car malgré la distances qui vous séparaient du panneau, plus ou moins 600 mètres; au fur et a mesures que vous vous en rapprochez, il ne fait plus aucun doutes, il s'agit bien de ce que vous cherchez.

Vous êtes enfin rendu devant la porte, vous avancez votre main, en direction de la poignée, et la saisissez. Vous faites un quart de tours sur la droites, et poussez, pour l'ouvrir.
vous entrez et tandis que vous avancez, vous ressentez une chaleur étouffantes, du au four en pierre, qui est un peu plus loin, sur le droites. A votre gauches vous apercevez un comptoirs, également en pierre, surmonter d'une planche de bois. Des outils sont accrocher aux murs, derrière.
Un humain d'une cinquantaines d'années, à la peau d'une couleur pale, torse nu, avec juste un tablier de cuir, entre par la porte qui vous fait face, et vient se positionner devant vous.

-Bonjour jeune elfe que puis-je faire pour vous?
Vous lui expliquez que vous avez besoins d'une montures, pour la suites de votre mission.
- Tu as bien de la chance le jeune il m'en reste trois, suis moi je vais te les montrer!

Vous le suivez dans la cours, de derrières.

-les voici:
° tout d'abord cette vieille mules (elle a une robe grise et noire)
au prix de 40 doublons

° vous pouvez également repartir avec ce jeune mulet (il possèdent une robe noir parsemé de tache blanche)
au prix de 60 doublons

° ou encore cette jolie jument (robe marron foncer)
au prix de 80 doublons

Lesquels prenez vous?

Et je retournais vers la ville, tandis que les deux stupides gardes me regardais. Une fois arrivé à la ville, il me restait suffisamment de temps pour chercher quelqu’un qui me louera un cheval… Je me mis donc en quête d’un vendeur de chevaux.

Mais ou chercher?
Je jetais un œil vers la ville et aperçu un panneau fixée au mur d’un bâtiment, j’eu la quasi certitude qu'il représentait la forme d'un cheval.

* Avec un peu de chance, ce sera l'échoppe d'un palefrenier.*

Je marchais dans la direction du bâtiment, plus ou moins 600 mètres m’en séparait encore ; au fur et a mesures que je m’en rapprochais, il ne faisait plus aucun doutes, il s'agissait bien de ce que je cherchais.

* Les yeux d’un homme de voit pas si loin, je crois… *

Arrivé devant la porte, je saisissais la poignée et la faisais tourner. Je l’ouvrais et d’un coup l’odeur m’envahie, un mélange de pailles, de canassons, de crotins…
Il ne me fallut qu’un instant pour l'ouvrir.
J’entrais…
Une chaleur étouffante, dut au four en pierre, qui était un peu plus loin, sur la droite. A ma gauche un mur en pierre grise, surmonté d'une planche de bois, faisait comptoir. Des outils étaient accrochés aux murs, derrière.
Un humain d'une cinquantaine d’années, à la peau pale avec juste un tablier de cuir, entrait par la porte face à moi, et vient se positionner derrière le comptoir.

-Bonjour jeune elfe que puis-je faire pour vous ?

- J’aurais besoin d’une monture solide, pour ce soir, je doit aller chercher quelqu’un au plus vite dans un village voisin.

- Tu as bien de la chance le jeune il m'en reste trois, suis moi je vais te les montrer!

Je le suivais et il me présenta une mule qui avait sûrement déjà passé l’age, puis un mulet, stupide animal, enfin une jument dont la robe marron s’accordait avec son regard de la même couleur mais d’une intensité, qui laissait paraître sa détermination à combattre.

- …au prix de 80 doublons.

- Humm… le choix est maigre. dis-je, assez bas.

* Mince ça fait cher quand même… *

- Pourrais-je le prendre ce soir ?

* Il faut que je soit sur d’aller dans une autre ville avant de faire un tel achat…*

Le palefrenier vous montre trois montures, une vieille mule suivi d'un âne, et pour finir une magnifique jument.

Vous décider de prendre la jument, qui a l'air nettement plus en forme que la mule, et moins têtus que l'âne.
Mais avant vous demander a l'homme si il vous serez possible de la prendre un peu plus tard.

- Tu veux la prendre plus tard, c'est d'accord, mais il faut que tu la réserve, sa te coûtera 40 doublons que je déduirai des 80! Par contre je ferme dans deux heure, alors tache d'être la avant, sinon je garderais l'argent sans te donner l'animal !

Vous accepter son offre en ruminant a voix basse, et lui donner les 40 doublons pour réserver votre monture.

Vous sortez du magasin, vous êtes devant la grandes avenue, il vous reste encore vingt minutes avant votre rendez vous avec le bar man.

Que voulez vous faire:
° Allez sur la place et attendre sur un des bancs, votre rendez vous! (un peu de confort ne fait pas de mal)
° Allez dans la petites ruelles derrière le bars, près des poubelles! (sa serait idiot de louper votre rendez vous, pour un peu de confort)

- Pourrais-je le prendre ce soir ?

* Il faut que je soit sur d’aller dans une autre ville avant de faire un tel achat…*

- Tu veux la prendre plus tard, c'est d'accord, mais il faut que tu la réserve, sa te coûtera 40 doublons que je déduirai des 80! Par contre je ferme dans deux heures, alors tache d'être la avant, sinon je garderais l'argent sans te donner l'animal !

- Merci !

Bon j’acceptai car l’heure approchais et ce n’était pas le moment de louper l’arrivé de mon barman…

* Faut pas que je loupe le barman…*

Je parcourrais la distance qui me séparait du bar et je réfléchissais en même temps.

* il s’agit de ne pas faire de bêtise, car le sujet semble fâcheux… je vais plutôt regarder qui vas jusqu’à la ruelle, et attendre sur un des bancs.

Et je me dirigeais vers les bancs pour attendre.

Vous décidez de vous installez sur un des bancs faisant fasse a la ruelle, ainsi, si quelqu'un rentre a l'intérieur, vous le verrez aussitôt.

Tandis que vous observiez durant de longues minutes, quelques hommes de toutes races, sont aller se soulager, le long des murs prés de la poubelle, la vous avez rendez vous tout à l'heure.
le temps passe trop doucement a votre goût, l'échéance de votre rendez vous, et dépassés depuis plus de dix minutes. Vous êtes extrêmement déçus, soupirez. vous vous dites qu'il ne viendra pas, qu'il a eu peur.
Vous vous apprêtez a vous levez quand vous l'apercevez enfin, il vous fait signe de la main, de venir; ce que vous faites.

vous êtes la en face de lui, vous voyer au battement de sa jugulaire qu'il est anxieux, et qu'il va falloir la jouer fine.

-Bonsoir, et encore désolé d'avoir mis autant de temps, mais un des clients avait trop bu pour repartir!

Vous lui dites que ce n'est pas grave, que le principal c'est qu'ils soit la, et profiter pour lui demander de poursuivre la conversation que vous avez eu tout a l'heure.

Spoiler:

Et je me dirigeais vers les bancs pour attendre.
Depuis que j’étais installé, j’avais vus passer toute la taverne pour se soulager à l’endroit même ou je devais rencontrer mon barman…
Je regardais un peu allant tour, rien à signaler… C’était bon signe.
Le temps passait très lentement, et l'échéance de mon rendez vous fut dépassé depuis plus de dix minutes, lorsque je m’aperçu de l’heure.

* Non ! Mais ce n’est pas vrai, il ne va pas venir !
Je vais encore me traîner longtemps sans ces infos ? *

Je me levais et commençais à filer lorsque j’aperçu mon bougre, il me fit un signe de la main.

* Ouf, j’ai faillit attendre !!! *

Je me dirigeais vers lui, tandis que la distance qui nous séparais s’amenuisait je voyais ses gestes plus annonciateur de stresse les uns que les autres.

- Bonsoir, et encore désolé d'avoir mis autant de temps, mais un des clients avait trop bu pour repartir!

- Bonsoir, vous êtes bien tendu… Ce n’est rien, l’essentiel c’est que vous soyez venu.

Le voyant hésiter, j’insistais.

J’ai surveillé l’endroit, et notre rendez-vous était il y a 10 minutes. Si quelqu’un était venu roder je l’aurais vu. Et sachez que les yeux d’un elfe ne peuvent pas être abusé par la nuit. dis-je, sur un ton serein et confiant.

Spoiler:

Le coeur du gérant bat rapidement dans sa poitrine, de nombreuses gouttes de sueur perles le long de son visage bouffie.

Pour le détendre, vous lui confiez, sur un ton d'apaisement et de sérénité, que vous avez surveillez cette ruelle depuis prés d'une demie heure, et que si une personne mal attentionnée serais venu roder la vous l'auriez vu et débusquer à coup sur.

Vos paroles semble le soulager, sa poitrine ce soulève bien moins rapidement que tout a l'heure. Vous avez des centaines de questions qui fusent dans votre cerveaux, et si peu de temps pour les poser, alors vous les lui poser une à une, très calmement pour ne pas le faire taire à nouveaux.


-Je vous écoute, allez y je tacherai de vous répondre de mon mieux
-Comment s'appelle l’homme que la belle aime ?
-Il se prénomme Avinnis, et c'est le fils cadet de Masterios, qui n'est autre que l'ennemie jurée de notre bon roi Kanisias. Ils sont rivaux depuis de très longues années, et ils rêvent de prendre le trône.
-Où habite-t-il ?
-Il vit à Asilis, c'est la ville la plus aux nord de la région de Isianos. C'est une grande Mégapole qu'il gouverne d'une main de maître.
-Est-ce que sa demeure est facile à trouver ?
- Sa je ne peu pas vous dire, je n'est jamais était dans cette ville de toute ma vie, ce sont des clients qui me l'ont décrite entre deux verre.
-Qu’est-ce qui vous effraye autant ?
-C'est assez simple pourtant vous ne devinez pas?

Vous lui rétorquer que non, et il se remet à vous expliquer:
- Vous vous souvenez des orcs qui était assis non loin de vous, et bien ce sont des espions de Masterios, qui cherchent des renseignement pour que leur patron puissent enfin prendre le contrôle de notre monde, en devenant roi, par tous les moyens possible.
-Est-ce que je vais subir des agressions à cause de mes questions ?
-Je ne peu pas vous dire, la seul chose que je ses, c'est que la soeur du roi est amoureuse d'un homme dont le père, est près a tous pour prendre la place du roi (même à le tuer).
-Est-ce que ça vas aller vous ?
-je ne devrait pas avoir de problème sauf si notre conversation venait à s'ébruiter, dans qu'elle cas, je serais certainement tuer par les gardes du roi. c'est pourquoi je vous demande de ne jamais dire que nous avons eu une conversation ensemble.

Vous hocher de la tête en guise d'acceptation.

Votre conversation à durer plus d'une heure et demie, il vous reste juste assez de temps pour allez chercher votre monture.

Que désirez vous faire:

°demander au gérant qui est sur le point de partir, si vous pourriez dormis dans son établissement après avoir était cherché la jument!
°Aller chercher la jument et vous mettre en route aussitôt, mais vers où! (vous ne voulez pas apportez encore plus d'ennuis aux patron)

Le voyant hésiter, j’insistais.

J’ai surveillé l’endroit, et notre rendez-vous était il y a 10 minutes. Si quelqu’un était venu roder je l’aurais vu. Et sachez que les yeux d’un elfe ne peuvent pas être abusé par la nuit. dis-je, sur un ton serein et confiant.


* Ouf il se détend on vas pouvoir discuter.*

Sa poitrine ce soulève bien moins rapidement que tout a l'heure.
Il entama la discutions sans délais :

-Je vous écoute, allez y je tacherai de vous répondre de mon mieux…

* C’est ma chance allez op, faut que je choisisse les bonnes questions…*

-Comment s'appelle l’homme que la belle aime ?
-Il se prénomme Avinnis, et c'est le fils cadet de Masterios, qui n'est autre que l'ennemie jurée de notre bon roi Kanisias. Ils sont rivaux depuis de très longues années, et ils rêvent de prendre le trône.
-Où habite-t-il ?
-Il vit à Asilis, c'est la ville la plus aux nord de la région de Isianos. C'est une grande Mégapole qu'il gouverne d'une main de maître.
-Est-ce que sa demeure est facile à trouver ?
- Sa je ne peu pas vous dire, je n'est jamais était dans cette ville de toute ma vie, ce sont des clients qui me l'ont décrite entre deux verre.
-Qu’est-ce qui vous effraye autant ?
-C'est assez simple pourtant vous ne devinez pas?

* Ben non, sinon je demanderais pas…* , pensais-je, en secouant la tête pour dire non.

- Vous vous souvenez des Orcs qui était assis non loin de vous, et bien ce sont des espions de Masterios, qui cherchent des renseignement pour que leur patron puissent enfin prendre le contrôle de notre monde, en devenant roi, par tous les moyens possible.
-Est-ce que je vais subir des agressions à cause de mes questions ?
-Je ne peux pas vous dire, la seul chose que je ses, c'est que la soeur du roi est amoureuse d'un homme dont le père, est près a tous pour prendre la place du roi (même à le tuer).
-Est-ce que ça va aller vous ?
-je ne devrait pas avoir de problème sauf si notre conversation venait à s'ébruiter, dans qu'elle cas, je serais certainement tuer par les gardes du roi. C’est pourquoi je vous demande de ne jamais dire que nous avons eu une conversation ensemble.

* Ben ouai, je risque pas vraiment d’en parler, j’ai personne à qui le dire de toutes façons.

Je regardais l’heure et vit que c’était l’heure d’aller récupérer ma monture.* Je lui dit au revoir et partie pour prendre ma monture, j’arrivais devant la porte avec une certaine excitation, il s’agit de choisir un camp en faisant ça…

Spoiler:

Spoiler:

Vous sortez de la ruelle, après avoir remercier le patron, et vous vous dirigez en direction de l'échoppe du palefrenier, récupérer la monture.

Vous hâter le pas, pour vous y rendre, il ne vous reste plus que deux voire trois minutes, pour vous rendre à son magasin.
vous arrivez devant, il vient juste de fermer, et commence à sortir par la porte de derrière. Vous l'interpelez et lui demandé si vous pouvez prendre la monture que vous avez choisi tout à l'heure, et pour lesquels vous avez versez un acompte.

- Désoler mon bon monsieur mais c'est trop tard, j'ai fermer mon magasin maintenant!
dit-il en souriant.
Vous le suppliez de vous accorder cette faveur, et lui expliquer la raison pour lesquels vous avait besoin de la monture. Avec un peu de chance, il comprendra, et vous la cèdera tout de même.
- de quoi tu veux rencontrer Avinis!
il se mit à rire aux éclats, vous êtes dérouter, et vous lui demandez pourquoi il a une telle réaction.
- Vois tu le jeune homme que tu cherche, je le connais très bien, et pour cause, car il s'agit de mon filleul, et son père Mastérios, est mon frère!
vous lui demandez si vous êtes encore en de bon thermes avec lui.
-Ma fois oui, ont s'entend plutôt bien, cela dit, je ne partage pas du tout ses idée politique, moi je suis bien content de notre roi, et je ne souhaitent pas en changer.
-Vu que tu va la bas, tu pourrai faire quelques chose pour moi en échange, non seulement je te passerai la monture que tu as choisi, mais en plus de sa, tu n'aura pas d'autre argent a débourser pour l'avoir.

Vous réfléchissez quelques secondes, et accepter finalement sa proposition.
- Je n'est pas eu le temps d'aller portes le cadeau d'anniversaire de Avinis, tu veux bien lui donner de ma part.

Tout en disant ses mots il vous tend une magnifique épée en or qu'il a forgée lui même, le manche est ornée de pierres précieuses.

Vous prenez la jument , ou voulez vous allez:

° Trouvez un établissement encore ouvert qui vous acceptera pour la nuit!
° Prendre immédiatement la route pour retrouver avinis!
° Essayer de trouver un moyen pour rencontrer la sœur du roi! (mais comment)

J'essayais de ranger l'épée dans mon sac mais elle ne passait pas, je décidais de la mettre à ma ceinture comme si c'était la mienne...

* Bon j'ai pas envie de trainer ici ca pourrai devenir dangereux pour moi*

Je me dirigeais vers la sortie de la ville, quand je pensais que la nuit n'allais pas etre courte. Je me dirigeai vers le sud. Maintenant le but était d'arriver la-bas.
Quand ils me verront, j'aurais l'épée qui attestera que je suis juste un messager même si l'arc que je porte pourrais faire croire le contraire, et de plus le fils sera heureux de retrouver sa compagne. Mais j'arriverais seul...

* NON...
Il faut que je trouve la reine et que je la persuade de faire le voyage, je me présenterais comme le valet d'un seigneur qui veut rester anonyme. Et je dirais la vérité à la reine même s'il y a du monde, il le faut.*

Je me dirigeais vers le château avec mon plan en tête, mon arc seras considéré comme l'arme d'un messager et j'ai l'épée comme signe de noblesse.

J'arrivais devant les grilles, je ne voyais pas les gardes, ils m'ont surprit tout à l'heure, mais ce ne sont peut etre pas les mêmes ils ne me reconnaitrons pas... Je descendais de ma monture, et je la tirais par les mords.

Vous arrivez devant la grille du château, avec pour seul but en tête, rencontrer la sœur du roi.

Vous ne voyais pas les gardes, comme la dernière fois, c'est déjà un aubaine pour vous. l'épée que vous devez donner à Avinis va vous aider a régler les litiges éventuelles. Vous rentrez dans la cour, elle est immenses, plusieurs centaines de mètres, tout au tour des bâtiments la borde.

Vous avancez encore de quelques pas, mais êtes stopper par deux garde.
-Halte là, qui êtes vous, et que voulez vous?

Vous lui expliquez que vous êtes chargée d'une mission, et que pour mener a bien celle-ci, vous devez absolument rencontrer Celenia. Que l'avenir de notre monde, dépend de cette rencontre, et que si il ne vous laisse pas passer, il sera le seul responsable du déclin de votre civilisation.

Vu qu'il n'as pas l'air bien futé, votre ruse va sans doute marcher. Il réfléchit de très longues minutes, il semble perplexe.
-C'est d'accords, suivez moi, je ne veux pas qu'ont dise que c'est de ma fautes, si notre monde sombre dans le cahot!
vous avez réussis à le convaincre, vous le suivez, a travers de nombreux couloir de pierre, et vous vous arrêtez devant une porte. le garde frappe, et dit à voix haute:
-princesse c'est Azzor, une personne à un message important pour vous, ouvrez!

la porte s'ouvre enfin, la lumière qui émane de la chambre vous éblouis, le contraste entre la clarté de la pièce et les couloirs obscures, est trop important.

Spoiler:

Tandis que j'avançais, j'attendais le moment ou quelqu'un me poserais la question... L'attente ne fut pas longue :

-Halte là, qui êtes vous, et que voulez vous? Dit un des deux garde qui étaient arrivé à ma hauteur.

-Je suis chargé d'une mission qui m'oblige absolument de rencontrer Celenia... et je lui expliquais que le monde courrai à sa perte si je ne pouvais pas donner des infos.

* Vu qu'il n'as pas l'air bien futé, ma ruse va sans doute marcher.* Il réfléchit de très longues minutes, avec un air perplexe.

-C'est d'accords, suivez moi, je ne veux pas qu'ont dise que c'est de ma fautes, si notre monde sombre dans le cahot!

Je suivais ce gars peu malin, a travers de nombreux couloirs de pierre, et nous nous arrêtons devant une porte. le garde frappe, et dit à voix haute:

-princesse c'est Azzor, une personne à un message important pour vous, ouvrez!

la porte s'ouvre enfin, la lumière qui émane de la chambre est éblouissante, le contraste entre la clarté de la pièce et les couloirs obscures, était trop important.

Spoiler:

La lumières jaillit par la porte, de chambre, vous aveuglant.

Une voix jaillit de la pièce:
- Entrez jeune homme, Azzor laissez nous, ont doit discutez!
- Bien madame au revoir!
dit le garde en repartant à son poste.
Le flash qui vous aveuglez il y a peu, s'estompe peu à peu, vous permettant d'observer ce qui vous entoure. La chambre, est très colorée, les murs, sont en pierre, le sol quand à lui est en bois.
Face à vous, à gauche d'une fenêtre, le lit de la princesse, est recouvert, de drap de couleur rose, en soie. Sur votre droite, un petit meuble faisant face à un magnifique miroir, dont les bords sont gravées, sert à entreposer, quelques ustensiles, telles que des brosses à cheveux, et divers produits, qui doivent lui servir a ce faire une beautés.

- J'ai entendu parler de vous jeune homme, ont dit de vous, un peu partout dans le royaume que vous êtes un grand héros, ayant vaincu moult monstre au périls de votre vie.
Pour le moment vous vous taisez, en admirant cette créature, à la beauté si parfaites, de longs cheveux blonds, un teint légèrement rosée, de petit yeux marron, et une fine bouche finisse sont portrait. son corps quand à lui est un appel aux plaisir, toutes ses courbes sont parfaite.

-Je suppose que si vous êtes ici même ce soir, c'est pour parler de mon futur mari!
Vous acquiescez d'un signe de la tête, en guise d'approbation.
-Voyez vous monsieur, je suis prise par un énorme dilemme, car comme vous le savez déjà surement si vous avez enquêtez un peu, l'homme que j'aime, ne pourra jamais être mon mari, car son père est l'ennemie juré de du mien, le roi de Lymphos!

sur ses mots elle mis ses mains sur son visages, et se mit à pleurer. De la voir ainsi vous artiste, car vous comprenez dans qu'elle situation elle se trouve.
Vous vous approchez d'elle est tenter de la réconforter, en la prenant dans vos bras, ce qui n'est pas une chose facile, car vous ne la connaissez que par quelques ragots entendu de ci de là.

Après plusieurs minutes, elle se reprend un peu, et vous demande:
- vous avez sans doutes des questions à me poser, allez y je vous écoute!
Vous prenez quelques secondes, pour réfléchir aux questions que vous voudriez lui poser, tout se bouscule dans votre tête, mais deux seulement vous semble des plus pertinentes.
-Je doit aller voir votre bien aimée, pourriez vous venir avec moi?
-Ce serait avec plaisir, mais il va falloir que je détourne la vérité pour mon père. Je lui direz que je vais me recueillir sur la tombe de notre mère, comme sa il acceptera, en plus elle est justement la bas!
Vous acceptez ce petit mensonge, et lui posez la seconde questions que vous avez en têtes.
-Je suppose que vous ne vous déplacez que en cortèges, est ce je pourrez être votre garde du corps lors de cette expédition?
-Il ne devriez pas y avoir de problèmes, vous remplacerez mon garde du corps habituel ! Nous partiront demain matin à l'aube, attendez moi sur la grande place à cinq heure, je vous y retrouverez avec le cortège. maintenant sortez il faut que je me repose!

Vous sortez de sa chambre, après l'avoir saluer, et vous essayer de trouver une auberge, pour vous reposez également.

La lumière jaillit par la porte, de chambre, blanche et aveuglante.

Une voix jaillit de la pièce comme pour continué à me perdre :
- Entrez jeune homme, Azzor laissez nous, ont doit discutez!
- Bien madame au revoir! dit le garde en repartant à son poste.
Le flash qui m’avait aveuglé il y a peu, s'estompait peu à peu, j'observais ce qui m’entoure sans problème maintenant. La chambre, est très colorée, les murs, sont en pierre, le sol quand à lui est en bois, le tout laisse entrevoir un confort simple.
Face à moi, le lit de la princesse, est recouvert, de drap de couleur rose, en soie. Sur ma droite, un petit meuble faisant face à un magnifique miroir, dont les bords sont gravées, servait à entreposer, quelques ustensiles, telles que des brosses à cheveux, et divers produits, qui doivent lui servir a ce faire une beautés.

- J'ai entendu parler de vous jeune homme, ont dit de vous, un peu partout dans le royaume que vous êtes un grand héros, ayant vaincu moult monstre au périls de votre vie.
Cela me laissa muet, en admirant cette créature, à la beauté si parfaite, de longs cheveux blonds, un teint légèrement rosée, de petit yeux marron, et une fine bouche pour harmoniser son portrait. Son corps quand a lui est un appel aux plaisirs, toutes ses courbes sont parfaites.

-Je suppose que si vous êtes ici même ce soir, c'est pour parler de mon futur mari!
J’acquiescais d'un signe de la tête, en guise d'approbation.
* Pas folle la guêpe *
-Voyez vous monsieur, je suis prise par un énorme dilemme, car comme vous le savez déjà sûrement si vous avez enquêtez un peu, l'homme que j'aime, ne pourra jamais être mon mari, car son père est l'ennemie juré de du mien, le roi de Lymphos!

Sur ces mots elle mis ses mains sur son visages, et se mit à pleurer.

* Oui j’ai bien comprit le dilemme et je pense que je devrai la réconforter mais comment ?*
Je m’approchais d'elle et tentais de la réconforter, en la prenant dans mes bras, ce qui n'est pas une chose facile, car je ne la connaissais que par quelques ragots entendu de ci de là.

Après plusieurs minutes, elle se reprend un peu, et me demanda :
- vous avez sans doutes des questions à me poser, allez y je vous écoute!
Je prit quelques secondes, pour réfléchir aux questions que j’allais lui soumettre, tout se bouscule dans ma tête, mais deux seulement me semble vraiment pertinentes.
-Je doit aller voir votre bien aimée, pourriez vous venir avec moi?
-Ce serait avec plaisir, mais il va falloir que je détourne la vérité pour mon père. Je lui direz que je vais me recueillir sur la tombe de notre mère, comme sa il acceptera, en plus elle est justement la bas!
Ca me pose aucun problème, et j’enchaînais :
-Je suppose que vous ne vous déplacez que en cortèges, est ce je pourrez être votre garde du corps lors de cette expédition?
-Il ne devrait pas y avoir de problèmes, vous remplacerez mon garde du corps habituel ! Nous partiront demain matin à l'aube, attendez moi sur la grande place à cinq heure, je vous y retrouverez avec le cortège. Maintenant sortez il faut que je me repose!

Je sortais avec dans l’idée de trouver une auberge, la route ne fût pas longue jusqu'à l’auberge. La pensée de revoir la reine m’emplissait de joie. La vue de ses courbes m’avait remémoré des souvenirs de mes contrées natales très joyeux.

Je demandais ma chambre au tavernier et lui dit que je lui donnerais un petit pourboire s’il me réveillais le lendemain à 4h45… le matin bien sur avais-je rajouté.

Vous repartez en centre ville, pour essayer d'avoir une chambre, à l'auberge.

Pendant le chemin de retour, vos pensé était toutes, dues à la beauté et aux courbes généreuse de la sœur du roi. Vous êtes emplies de joie, de devoir la retrouver demain.

Quelques minutes plus tard, vous arrivez devant l'auberge, qui est dans le centre ville. Vous entrez à l'intérieur, et filez directement à la rencontre du tavernier, celui la même avec qui vous avez discutez un peu plus tôt.
Vous lui demandez une chambre, mais également qui vous réveil demain matin à cinq heure moins le quart, de façon à être à l'heure à votre rendez-vous.

- Tu as de la chance, le jeune, il me reste, justement une petite chambre d'ami de libre, au dessus des cuisines, sa vous coutera dix doublons!
Vous lui répondez que ce sera avec plaisir que vous la prenez, et attendez sa réponse pour votre réveil.
-Ah oui c'est vrai, je pense que sa ne me posera pas de problème, je vous ferez réveillez par le cuisinier, il prend son service à quatre heure et demie.

Vous empruntez donc une sorte de petite échelle de meunier, pour monter dans votre chambre, après avoir traverse la cuisine. Une fois dans la chambre dont la décoration est plus que sommaire, car hormis les murs seul un petit matelas,trône aux centre de la pièce. Vous vous allongez dessus, totallement habillé pour ne pas perdre de temps pour demain matin.

Le lendemain matin, vous êtes réveiller comme convenue par le cuisinier, un orc immense, a la pilosité facial plus que développée.
- Debout petit c'est l'heure!
Dit il avec une voix très rauque.

Il est quatre heure trente, vous descendes, à l'accueil de l'auberge, que voulez vous faire:
- Prendre un petit déjeuner à l'auberge, d'un montant de 7 doublons, comprenant (boisson, jus d'orange, et 2 pâtisserie)
- Sortir attendre le convoi dehors sur un banc, vous ne voulez pas le ratée, malgré, qu'il vous reste encore trente minutes d'attente avant son arrivée.